Urgence climatique, crise énergétique et anxiété
ce samedi 10 septembre 2022 après un été qui a permis à tous de prendre pleinement conscience de la crise climatique en vivant les canicules, les inondations et la sécheresse, vous pouvez lire cet article :
POINT DE VUE. « Des nuances de l’éco-anxiété »
extrait :
L’éco-anxiété, « un nouveau terme s’est imposé, faut-il s’en réjouir ? » interroge Catherine Grangeard, psychanalyste et autrice.
L’éco-anxiété se justifie. Pouvoir la nommer, la reconnaître sans la redéfinir en permanence, cela semble un progrès. L’anxiété liée aux dérèglements de l’environnement passe dans le domaine public.
Mais, le mot anxiété
est souvent associé à un trouble psychique. Ne serait-ce pas un risque que de psychologiser voire de pathologiser ce sentiment d’inquiétude qu’il semble plutôt sain de ressentir ? Sauf si la tétanie en résulte.
La connotation insidieuse du terme anxiété
pourrait être intégrée par celles et ceux qui la ressentent comme une faiblesse. Insistons pour que la conscience de la situation dépasse les quelques faits divers et ne se solde pas par des anecdotes.
L’éco-anxiété est pré-traumatique
Ce terme est né dans les années 2000 aux USA. Le changement climatique entraîne une réelle anxiété qui se manifeste de plus en plus dans la société tout entière. Plus l’inquiétude autour de l’environnement croît et plus ce sentiment éclot. On constate que la population jeune est la plus atteinte. C’est un mal du siècle.
Le fondement de cette inquiétude est bien réel. Les canicules, les inondations, les sécheresses et tous les évènements climatiques témoignent de la réalité d’un changement gravissime de notre environnement. Les jeunes auront à vivre avec, cela ne fait plus débat.
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