La journée internationale sans régime : non merci, pas de régime, c'est le printemps !
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«Ne vous laissez pas avoir par le changement de termes. Régime peut devenir 'méthode' mais revenir exactement au même.»
L’idée même de « se mettre au régime » n’est pas anodine pourtant elle est banalisée.
Un cercle vicieux s’installe: l’image de soi se dégradant renforce la nécessité de combler cette mésestime par des petites douceurs et en découle une reprise de poids vécue comme un échec. Je parlais déjà en 2007 du trépied « privation-frustration-transgression » dans le livre Obésités, le poids des mots, les maux du poids (Calmann lévy). Le fait de s’imposer une privation de nourriture est psychiquement contrarié dès lors que les raisons pour lesquelles le corps ne nous plait pas ne sont pas comprises. Et même alors, sont-elles « valables » ces raisons ou plus exactement n’est-il pas plus pertinent de saisir pourquoi nous n’aimons pas notre corps?
Pourquoi est-ce si ancré dans les esprits que beauté rime avec minceur?
Le printemps reste la saison où les magazines titrent sur le summer body. Vous savez, il y aurait nécessité à préparer son corps à aller à la plage, en gros il faut maigrir!
Pourquoi les bourrelets sont-ils si anxiogènes?
Le terme grossophobie est entré dans les dictionnaires en 2019. Pourtant la phobie semble toujours aussi bien partagée. A commencer par une majorité de personnes à l’égard d’elles-mêmes. Une majorité de femmes devrions-nous préciser.
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En mai, fais ce qu'il te plait !
Le 15 mai : JEO Journée Européenne de l'Obésité. (articles à venir)
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